Nous devons utiliser les machines pour payer le parking, faire un paiement bancaire, trouver le bon guichet dans une administration. Sans parler de l’ordinateur, de la tablette et évidemment du smartphone devenu indispensable avec toutes ses applicationsXprogrammes informatiques qui permettent de faire certaines tâches. Pour communiquer, pour nous informer, nous ne pouvons plus nous passer des écrans. Des écrans qui facilitent la vie et qui la compliquent aussi. Surtout si on ne maitrise pas bien la lecture et l’écriture.
Comment taper sur le clavier son numéro de plaque de voiture ? Comment encoder correctement l’adresse d’un destinataire de virement ? Comment indiquer sur la borne de l’administration communale que l’on demande un certificat de naissance ?
En même temps, ces technologies peuvent améliorer la vie des personnes qui ne connaissent pas ou mal la langue. Ces technologies peuvent même les aider à apprendre : les images qui envahissent nos écrans et qui sont plus lisibles qu’un long texte. Ou encore les applications vocales des smartphones qui permettent le dialogue sans nécessairement connaître l’écrit.
Ce monde « numérique » pose donc des problèmes aux personnes peu ou pas alphabétisées, mais peut apporter aussi des solutions. L’organisation des Nations unies qui s’occupe de l’éducation, l’UNESCO, veut le montrer et agir pour le numériqueXEnsemble des technologies et des appareils de l'information et de la communication. Cela veut dire internet, réseaux sociaux, ordinateurs, smartphones, etc. améliore la vie des personnes peu ou pas alphabétisées.
Vidéo en anglais mais avec sous-titres en français sur le sujet
2 réponses
L’éducation numérique
Peut-être trouvé un appareil numérique moins compliqué, car quelle est la tranche d’âge des personnes analphabétes en Belgique? Peut-être qu’il s’agit de personne âgée qui n’ont pas envie d’apprendre à utiliser un smartphone pour apprendre une langue. Il faut réfléchir à l’outil qui est proposé.
Louise de carpediem-team.fr
L’éducation numérique
Je suis formateur d’adultes. Mes groupes sont souvent, mais pas toujours, contents de travailler sur les ordinateurs ou les tablettes. C’est de toute façon une bonne idée de s’intéresser à ces supports-là aussi.
Les stagiaires sont souvent moins réticents à utiliser l’informatique que certains formateurs et enseignants. La fracture numérique n’est pas toujours où on croit.