A la Coupe du monde au Qatar, 7 équipes devaient porter un brassard pour montrer qu’elles étaient pour les droits des personnes LGBT LGBT Lesbienne, gay, bisexuel, trans . Les personnes LGBT sont poursuivies au Qatar. La Fédération internationale de football a menacé les joueurs d’un carton jaune avant même que le jeu commence s’ils portaient ce brassard. Les joueurs ont alors renoncé à le porter. Mais que veut dire exactement LGBT ? Et pourquoi parle-t-on de LGBT+ et même de LGBTQIA+ ? Réponses à ces questions.
L comme lesbienne
Une femme qui est attirée sexuellement par une femme, qui a des relations sexuelles avec une femme.
G comme gay
Un homme qui est attiré sexuellement par un homme, qui ades relations sexuelles avec un homme.
B comme bi
Une personne qui est attirée sexuellement par un homme ou par une femme, qui des relations sexuelles avec un homme ou avec une femme.
T comme trans
Une personne est née homme. C’est son sexe de naissance. Cette personne ne se sent pas homme. Elle ne se sent pas appartenir au genre masculin. Une personne est née femme. C’est son sexe de naissance. Cette personne ne se sent pas femme. Elle ne se sent pas appartenir au genre féminin. Il peut y avoir des personnes opérées qui ont changé de sexe. On les appelle alors plutôt « transexuelles ». Les personnes non-opérées sont appelées « transgenres ». Pour rassembler les 2 catégories, on dit « trans ».
Q comme queer
Mot anglais qui veut dire bizarre, étrange. Une personne queer est une personne qui ne se reconnaît pas dans la sexualité hétérosexuelle ou dans un genre masculin ou féminin bien défini.
I comme intersexe
Les personnes intersexes ont donc des caractéristiques sexuelles qui ne correspondent pas aux définitions traditionnelles des corps masculins ou féminins.
A comme asexuel
Des personnes qui peuvent être amoureuses sans vouloir avoir de relations sexuelles.
+
Le signe « + » pour dire tous les autres. C’est-à dire tous ceux et toutes celles qui ne se reconnaissent pas dans les autres catégories.
Pour faire ces définitions, nous nous sommes basés sur plusieurs articles de presse et surtout sur une brochure « Informer sans discriminer » éditée par l’Association des journalistes lesbiennes, gays, bi·es, trans et intersexes, Informer sans discriminer
