Chaque année en Belgique, entre 20 000 et 30 000 femmes ont recours à une IVG. Selon un récent sondage, 70 % des personnes interrogées ne savent pas que l’IVG est toujours inscrite dans le Code pénal code pénal ensemble des textes de lois qui punissent les personnes qui commettent des infractions aux lois. . Une fois informées, 3 personnes sur 4 disent qu’elles sont pour une dépénalisation totale de l’avortement.
Des associations militent pour que l’avortement ne soit plus considéré comme un délit délit action contraire à la loi. mais comme un droit. Le Centre d’Action Laïque, dans sa campagne « IVG hors du code pénal code pénal ensemble des textes de lois qui punissent les personnes qui commettent des infractions aux lois. » , rappelle que des organisations internationales comme l’OMS OMS Organisation mondiale de la santé , Organisation Mondiale de la Santé et l’ONU ONU Organisation des Nations unies, presque tous les Etats du monde sont à l’ONU. L’ONU a été créée pour défendre le droit international, la sécurité et la paix. , Organisation des Nations Unies considèrent l’accès à l’avortement comme un droit.
Pour cette association, ce droit est très important pour les droits des femmes : « Lorsque l’accès à l’IVG est aisé, cela signifie que bon nombre de droits des femmes sont respectés ; lorsqu’il est mis en péril ou décrié, cela démontre que les droits des femmes en général sont fragilisés. »
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Auteur : Céline Teret