Ce qu’en dit Denis Uvier

Oh non, je ne parle Ni de femme,
Ni de muse Aux cheveux arc en ciel Bien que ce journal L’Essentiel porte bien son nom. Et du plus loin que je me souvienne m’a permis de grandir, de partager mes opinions, mes combats…
A moi, le baroudeur de rue, il a, à l’occasion, ouvert ses feuilles de papier pour y inscrire mes aventures
Des petites maisons pour les sans-abri ou l’action en solidarité avec les sans-papiers Mais aussi des jardins participatifs. Et j’en oublie d’autres…
Si encore : mon livre écrit à quatre mains avec mon ami Marcel Leroy J’appartiens à la rue Que dire de plus ? Si ce n’est de parler de L’Essentiel comme essentiel qui pour moi est une histoire d’amour, d’amitié, de tolérance.
Une histoire de vie où tout ce qui s’y écrit est essentiel pour ouvrir ses yeux, son cœur, sa solidarité à ce qui se passe autour de nous pour moi c’est cela L’Essentiel et l’essentiel.
Commentaire de Denis Uvier après la lecture de l’article Denis, la rue, l’humain et la poésie :
« Franchement je le prends ton texte comme un cadeau de la vie, plus précieux que tout l’or du monde, merci mon ami.

(…)
La vérité de Denis, de son combat, il l’exprime bien avec sa poésie. Denis écrit de longs poèmes, oui, et pourtant, souvent, quelques vers de ces longs poèmes ressemblent à un haïku. Le haïku est un petit poème japonais qui parle de l’insaisissable, du côté éphémère des choses. Lisons Denis :
(…)
Ah, le chemin noir sous l’orage Si lumineux au midi de l’été
Il ne frémira plus sous tes pas
Lisons-le encore :
(…)
Pour qu’un jour sur un terrain très vague Enfin je te trouve dans ces grands lointains Et te demande pourquoi jamais
Ton histoire tu me l’as donnée
Les spécialistes de poésie disent que le haïku favorise le lien social, l’écoute et le dialogue, il transmet la paix et la bienveillance. C’est aussi vrai pour le livre J’appartiens à la rue.
